La tour de 5 km de haut imaginée par Arconis. https://www.youtube.com/watch?v=mpNuHNbobBI
J’ai beau être un invétéré optimiste, j’avoue que le futur de notre planète, ou plutôt de la Terre telle que nous la connaissons aujourd’hui, semble plutôt compromis. Que peut en faire la science-fiction ?
L’année passée, nous avons découvert, sous nos latitudes (46° Nord), la sécheresse envahir nos près, jusqu’aux alpages des montagnes du Jura. Et cette année, l’actualité, comme un mauvais top 50 qui démarre toujours à la fin, nous égrène les températures, feux de forêts, inondations et autres phénomènes naturels destructeurs comme des records chaque jours dépassés.
Ma première nouvelle débute en 2098 dans une tour de 1000 étages que j’ai imaginée s’élevant fièrement au milieu d’un désert qui remplacera les plaines du Shandong, entre Pékin et Shanghai. La température y avoisine aujourd’hui déjà des températures de 35° avec 49% d’humidité. Dans mon récit, il fait encore plus chaud, et il est impossible de s’aventurer à l’extérieur dès que l’astre du jour a montré son nez.
Alors, que se passe-t-il? Rien. La vie, la nature, les êtres humains se sont adaptés. Tant bien que mal. La tour Xhang et ses 5000 mètres de haut est l’une des réponses d’une société qui a tout misé sur la technologie pour survivre. C’est une des philosophies que l’on retrouvera dans toute la littérature de science-fiction: nous nous adaptons à toutes les situations, que ce soit au sein de colonies minières sur mars ou dans les cratères de météorites au fin fond du système solaire, l’Homme restera le même, avec ses défauts et ses extraordinaires qualités.
Si vous avez suivi mes posts précédents, un des personnages principaux de ma nouvelle « 2098 la tour des quadrants, est une tour de 1000 étages au milieu d’un désert brûlant.