Je n’ai pas pu résister à l’idée de demander à Google et à Chat GPT de me dresser un petit historique des liens entre l’intelligence artificielle et la littérature de science fiction.

Mais je voudrais vous parler de mon expérience personnelle et vous renvoie à vos propres essais pour en retracer l’histoire.

Tout à commencé, parait-il, par l’œuvre de Frankenstein, écrite en 1818 par Mary Shelley, sauf erreur dans la célèbre villa louée par Lord Byron sur les rives du lac Léman, pas loin de l’endroit où je vous écris actuellement. J’ai découvert Frankenstein à la télévision et n’ai lu la nouvelle que récemment. Pourtant, clairement, dans mon inconscient, l’IA est bien cet être artificiel créé par l’humanité pour entrer en concurrence avec elle, voire la dépasser.

Les robots d’Asimov, publiés en Français en 1967, avec leurs 3 lois et leur cerveaux positroniques m’ont bien sûr fascinés. Tout comme HAL, le robot de « 2001, l’odyssée de l’espace » de Stanley Kubrick et Arthur C. Clarke.

Ce que je pourrais retirer, en première analyse, de ces œuvres, c’est que leur créateurs, sont tous animés d’une volonté de bien faire. Mais la réalité ce retourne contre eux, parfois, comme chez Asimov où les trois lois entrent en compétition, dans des situations cocasses imprévues.

L’œuvre de science-fiction qui les a, pour moi, toutes dépassées c’est Matrix, dont le premier visionnement, en 1999 m’a fait l’effet d’une bombe. Là, la situation est inversée, les humains sont devenus les créatures des machines enfin libérées.

De Frankenstein, plus moderne que jamais, à Matrix, la SF s’est ainsi montrée pour moi une fantastique machine à prédire le futur. Elle nous donne du recul pour aborder la réalité d’aujourd’hui et nous guider dans nos choix. Vous prendrez bien une petite pilule rouge ?

Dans 2098, le tour des quadrants, l’Intelligence-mère est un mélange des robots d’Azimov, de Skynet et des machines de Matrix. Omnipotente et omniprésente, elle vit dans chacun des humains et les humains vivent par elle.

Découvrez ce que peut faire une IA qui posséderait un milliard de fois la puissance du plus puissant de nos ordinateurs dans la version papier ou e-book de « 2098 la tour des quadrants« .